Critique du « dépassement » – Partie I – Puissance du capital et captation

L’échange que nous présentons ci-dessous s’est initié en février dernier à partir d’une proposition d’éditorial de Jacques Wajnsztejn pour le n° 17 de la revue : « Sur la politique du capital ».

L’échange s’est poursuivi en septembre au sujet de la dialectique hégéliano-marxiste, du concept de dépassement et de l’explicitation de la notion d’englobement.

L’objet de la discussion s’est ensuite élargi à des questions touchant à l’imaginaire (imaginaire social et signification) et à l’imagination, à la temporalité et à la vision continuiste ou discontinuiste de l’histoire.

Vu l’ampleur des questions abordées et la longueur des messages, cet échange sera présenté en plusieurs parties. Il fait suite à un précédent débat : « Quelques réflexions et références sur la rationalité » publié sur ce blog en mars dernier et que l’on pourra trouver à l’adresse suivante : http://blog.tempscritiques.net/archives/782. Lire la suite →

Brochure « Le capital comme pouvoir » et politique du capital

Nous publions sur notre site une brochure in extenso et ici en lien (pdf de 2Mo) de S.Bichler et J.Nitzan Le capital comme pouvoir1. Cette brochure reprend les thèses du livre du même nom par ailleurs commentée par J.Wajnsztejn dans le numéro 17 de la revue. Vous trouverez ci-dessous l’introduction à la brochure suivi de l’échange de courriel qu’elle a engendré sur la question de la politique du capital, notion centrale dans le premier texte du n°17.

>Ajout du 11 juillet 2014 : réponse de S.Bichler et J.Nitzan aux remarques introductives de J.Wajnsztejn à leur brochure. Lire la suite →

  1. Shimshon Bichler et Jonathan Nitzan, « Le capital comme pouvoir, Vers une nouvelle cosmologie du capitalisme », Revue du MAUSS permanente, 12 juin 2014 [en ligne]. []

A partir du n°16 de Temps Critiques – Discussion avec le groupe « soubis »

Réunion du groupe autour de la liste « Soubis » (Socialisme ou barbarie) . Invité : J. Wajnsztejn à l'occasion de la sortie du n°16 de la revue Temps critiques

JW: Je pourrais commencer en répondant à certaines questions que Nicole m’avait, il y a quelque temps, formulées par écrit, et notamment celle-ci: comment, à Temps critiques, expliquez-vous l’offensive visant à faire baisser la part de la plus-value cédée en salaires si le rôle du travail est devenu si insignifiant dans la formation de la valeur ? Lire la suite →

Numéro 16 disponible

La revue n°16

Le numéro 16 de la revue Temps critiques est disponible que ce soit en exemplaire papier* ou que ce soit en lecture sur le site de la revue.

Sommaire avec les articles en liens :

I. Luttes actuelles et communauté humaine
Des grèves d’octobre-novembre 2010 en France, puis des révoltes arabes au mouvement des indignés espagnols et des occupy américains, Temps critiques

II. FLux de capitalisation et systèmes techniques
Systèmes fluidiques et société connexionniste, Bernard Pasobrola
Derrière la crise financière, l’unification problématique du capital, Jacques Wajnsztejn
Crise, dramaturgie et jeu, Bernard Pasobrola

III. L’état-réseau : histoire et modalités
État-réseau et genèse de l’État : notes préliminaires, Jacques Guigou
Réseau et/ou oligarchie : les voies impénétrables de la domination du capital, Jacques Wajnsztejn
Le retour en grâce du mot « oligarchie », Bernard Pasobrola
Sur « l’en commun » , Jacques Wajnsztejn Jacques Guigou

 *Les exemplaires papier peuvent être commandés en écrivant à :
 
Revue Temps critiques
11 rue Chavanne
69001 Lyon
 
L’exemplaire est vendu au prix de 10€, frais d’expédition compris. Pour 2 numéros (y compris les suppléments ou les hors série) abonnement simple 20€ (port compris), de soutien à partir de 35€ (port compris + supplément et numéros d’Interventions). Chèque à établir à l’ordre de Jacques Wajnsztejn

4ème de couverture Temps Critiques n°16

Le capital, dans ses nouvelles tendances, s’appuie sur une organisation en réseaux où les flux de matière et d’énergie ne dépendent pas seulement de la logique du profit, mais aussi des jeux de puissance au sein de ces réseaux. Aujourd’hui, l’État a perdu l’autonomie relative qui était la sienne dans la société de classes.

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