Dichotomie
Texte de Djamila qui nous est parvenu et que nous reproduisons ici sans autre commentaire.
Occident/Orient
Blancs/Non blancs
Homme/Femme
Croyant/Non croyant
Texte de Djamila qui nous est parvenu et que nous reproduisons ici sans autre commentaire.
Occident/Orient
Blancs/Non blancs
Homme/Femme
Croyant/Non croyant
Le texte qui suit : L’islamisme radical n’est pas un nouveau fascisme est une forme de réponse à notre texte L’angle mort du 13 novembre. Il est suivi d’une série d’échanges. Lire la suite →
Suite aux attentats du 13 novembre 2015, vous trouverez dans ce billet des échanges auxquels participent des individus de la revue Temps Critiques, ou des proches. Les messages se suivent de manière logique et le billet a été actualisé pour la dernière fois le 8 décembre 2015.
A la suite de la lecture du texte de Kamel Daoud : L’Arabie saoudite, un Daesh qui a réussi dans le New-York Times, Jacques Guigou a souhaité réagir. Il complète ci-dessous le point de vue proposé dans le précédent billet avec le second article : État islamique ou communauté despotique ?
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Deux textes se suivent et se complètent dans ce billet. Le premier reprend, en quelques points, les apories des positions traditionnelles de la gauche communiste devant la nouveauté de la situation présente, illustrée par les attentats du 13 novembre 2015. Ce que veut démontrer le second texte, de J.Guigou, c’est que les différents courants islamistes radicaux, y compris celui qui s’autoproclame État islamique (EI), cherchent à refonder une vaste communauté despotique et non pas des proto-États. Pour cela, ils cherchent à mettre à mal ce que nous avons appelé « l’unité guerre-paix dans le procès de totalisation du capital » qui se construit progressivement à partir de la première intervention en Irak contre Saddam Hussein. Leurs cibles sont donc aussi bien des cibles « musulmanes » qu’occidentales puisque cette totalisation dont nous parlons est bien le signe que nous ne sommes pas dans le cadre d’un « choc des civilisations ».
A la suite, le contenu préparé à l’occasion du débat du 3 octobre 2015 à la Parole Errante sur Montreuil mais aussi les commentaires préparatoires de J.Wajnsztejn. La question de la rupture avec l’argent a souvent été débattue dans les années 70/80 par des groupes de l’ultragauche. Comme Temps critiques l’a ensuite exprimé dans « Crise financière et capital fictif » le développement du capital fictif s’exprime d’une façon structurelle et non conjoncturelle.
Ci-dessous quelques remarques sur un débat ayant eu lieu à la Parole Errante (Montreuil) le 3 octobre 2015 portant sur « une société sans argent ? ». A cette occasion Bruno est intervenu pour développer un point de vue en lien avec celui de la revue Temps critiques.
Cet ensemble de lettres autour des notions de territorialisation/déterritorialsation est ici réintroduite de façon fortuite à partir d’une toute autre question mais il se trouve que cela a fait resurgir des questionnement et discussions menées il y a maintenant plus de deux ans (mai 2013). Ces discussions sont disponibles sur notre blog dans l’échange :
À noter aussi sur ces points l’article de Philippe Pelletier dans le Libération des géographes daté du premier octobre 2015 dans lequel il appréhende les ZAD comme une tentative de dépasser la contradiction que représenteraient des « territoires utopiques ». Lire la suite →
Le texte qui suit est une réponse de B.Pasobrola au dernier texte de J.Wajnsztzejn et Laurent Partie IV de la critique du dépassement : « raison, totalité et universalité » publié sur ce blog dans la série de texte suivant :
Partie I – Puissance du capital et captation
Partie II – Dépassement, englobement et couple imaginaire/rationnel
Partie III – Temps et durée, rationalisation et autonomie
Partie IV – raison, totalité et universalité.
De cette série d’interventions autour de la notion de dépassement, B.Pasobrola note l’impossibilité qu’auraient JW et L. à se passer justement de cette conception hégélo-marxiste de l’Aufhebung. Il relève, dans leur derniére intervention : « Raison, totalité et universalité » (partie IV), un attachement à Hegel et sa raison dans l’Histoire alors qu’il propose pour sa part un détachement de cette lecture rationaliste à partir de C.Castoriadis et son approche en terme d’imaginaire social.
Suite d’échanges qui apprécie différemment le legs des écrits de C.Castoriadis. Interrogations donc sur ce qu’il est possible de retenir de ces écrits qu’ils soient issus de la revue Socialisme ou barbarie (sous les pseudo de Chaulieu puis Cardan) qui reste pour nous une référence critique même si elle doit être appréciée dans ses forces et limites, mais aussi de livres comme Les carrefours du labyrinthe (signés Castoriadis) qui posent des problèmes importants à propos du concept d’imaginaire social d’une part et nous renvoient d’autre part à notre discussion plus générale autour de notre héritage hégéliano-marxiste, des questions de continuité et discontinuité historiques etc.